novembre 2008
par Firmin Koto
- Réalisé à Stockholm Läs artikeln på svenska
Après de brillantes études à Beyrouth au Liban, Moïse KEREKOU, digne héritier de la culture panafricaine à l’instar du président Roland LUMUMBA, marque de son empreinte indélébile les mouvements de jeunesses panafricaines.
Très actif sur le terrain à travers la mise en place d’associations, forums et cadre d’expression centralisés sur la jeunesse africaine, il apporte également son expertise à plusieurs politiques lors des campagnes présidentielles aussi bien au Bénin qu’en Afrique.
D’entrée de jeu, il indique que « L’Afrique ne peut se construire et s’édifier sans la prise de conscience de l’importance du rôle de la jeunesse et l’émancipation de la femme. » Faisant de la promotion de la jeunesse africaine le fer de lance de son action.
Conscient que « l’union de l’Afrique ne se fera que par l’intégration et l’évolution culturelle des peuples », il se démarque des politiques culturelles stagnantes et non évolutives.
La libération des énergies positives à travers toutes les forces vives…Se refaire une autre idée de l’union par le réalisme et la prise de conscience des énormes chantiers à bâtir…Véhiculer la solidarité active, point de départ du compte à rebours sont en prime ses idées maîtresses.
Spirituel… il fait sien le leitmotiv de l’artiste chanteur ivoirien Don Mike « L’homme prudent voit le mal venir de loin… » Partant, il exhorte les africains à agir rapidement dans la matérialisation des projets phares de l’Afrique en gardant à l’esprit que c’est au pied du mur qu’on reconnaît le vrai maçon et conseille aux acteurs de l’unité africaine à surveiller leurs arrières dans le silence des résultats sans crier trop tôt victoire…
http://www.100pour100culture.com
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